lundi, octobre 13, 2008

Femme, je vous aime.







Je t'ai dit mes dernières mots d'amour, écrit soigneusement dans cette lettre à moitié froisser, elle sent encore l'odeur de mon parfum. Dans cette lettre je te dit : "Merci" après avoir écrit ceci, je la posa en évidence au beau milieu de la table du salon, sur l'enveloppe est écrit : "Amour" puis, je me suis dirigé dans mon armoire, j'ai pris cette objet que je convoitais depuis longtemps. Cette décision j'ai pris des années à la prendre, mais c'est maintenant que je me suis décidé d'assouvir cette pulsion. L'objet en main je me suis dirigé vers mon balcon, le regarde vide, le regard fuyant, je regardais en bas. C'était impressionnant, en pleine nuit toutes ces voitures se collant les unes derrière les l'autres en essayant d'augmenter le rythme de la circulation. Je n'éprouvais pas de sensation de peur. Je pris quelques minutes pour prendre conscience de mon acte et énumérer dans ma tête que les bonnes choses, pour pouvoir me rappeler que de ces moments là. Mes pensées fini, je tendis l'objet serré dans ma main droite jusqu'à ma tempe, je pris une grande inspiration; à peine eu-je le temps de l'expiré que j'avais appuyé sur la détente. Puis, un sons sorti de l'objet; se fut le dernier sons que j'ai entendu . Mon corps lui, s'est engouffré dans le vide sans aucune crainte de blessure, après cinq étages en quelques millièmes de secondes mon corps percuta alors une voiture. J'était belle est bien morte par l'objet de mon désir. Cette lettre que j'avais si bien disposé sur ma table, cette lettre ou le seul mots écrit dedans était "Merci" ne fut jamais ouverte par personne, car je n'avais jamais connu l'Amour.

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